Scrogn Blog

Un blog scrogneugneu pour les scrogneugneux (parce qu'on le vaut bien)
  • rss
  • Home
  • Scrogniculum vitae
    • Les autres protagonistes
  • Contacts
  • Les autres protagonistes

Bienvenue au club

Scrogn | 29 septembre 2013

Je vous la fais brute de décoffrage comme je l’ai subie. Tant pis pour vous.

Grumpy : Môman, on a créé un club !

Scrogn (massacrant ses grosses mains délicates dans le prélavage de vêtements mâles): Bien, bien, bien. Un club de quoi ?

Grumpy : Ben, d’enfants voyons ! Bbbbrrr…..

Scrogn (refoulant l’envie de relever que son propre fils prenne les enfants pour des objets) Bien, bien, bien. Et qu’allez-vous faire ?

Grumpy : Rien qui ne pourrait t’intéresser. Discuter des graves problèmes existentiels : les repas, les devoirs, les amis, les leçons, les parents, les amis, la bouffe, les allergies alimentaires, les amis, les repas, nos problèmes amoureux de nous-autres-les-sept-ans-d’âge, les amis…

Scrogn : Bien, bien. bien. Ça semble intéressant. Vous serez nombreux ?

Grumpy : Au moins une vingtaine. C’est qu’on m’aime beaucoup.

Scrogn : Bien, bien, bien. Et vous allez l’appeler comment ce club ?

Grumpy : (avec son air « vive moi ») Vu qu’on échange nos points de vue, j’ai trouvé le nom parfait !

Scrogn : Bien, bien, bien. Et quel est-il ?

Grumpy : Le club des échangistes.

Scrogn : Bien, bien, bi…

Comments
No Comments »
Categories
Ma vie - leurs oeuvres
Comments rss Comments rss
Trackback Trackback

Que pouic

Scrogn | 25 août 2013

Ce qu’il y a de formidable avec les vacances, c’est que vous pouvez, en toute quiétude, vérifier certaines théories en vogue. Car se retrouver vingt-quatre heures sur vingt-quatre avec votre horde a tôt fait de transformer vos journées en une étude scientifique, preuves à l’appui.

Ainsi, lorsque certains clament haut et fort que les garçons acquièrent un peu de maturité beaucoup, beaucoup, beaucoup plus tard que les filles, j’ai pu malheureusement démontrer la véracité de ce propos. Et en public en plus (même si nos voisins étaient anglophones). C’est qu’entendre hurler « pipi-caca-vomi-crotte-de-nez » sur une plage, avouez qu’il y a un petit quelque chose de gênant.

Non. En fait, je me liquéfiais de honte. D’autant que le galopin en question a plus de quarante ans.

Et un autre intérêt (tout relatif, jusqu’ici) de séjourner dans un pays pratiquant la langue de Mark Twain, réside dans l’espoir fou que votre progéniture (sociable au bout’) picorera çà et là des rudiments idiomatiques de l’endroit. Un peu de vocabulaire glané sur le sable, un soupçon d’accent américain entendu au fond d’un coquillage, une tournure de phrase pêchée au creux d’une vague.

Nonobstant ma qualité de vacancière ès « orteils-en-éventail », il m’arrivait inconsciemment de jouer mon rôle de maman attentive au développement de ses affreux.

Un soir où, n’ayant pas eu ma dose suffisante d’alcool, je demandais de façon étourdie à mon aîné s’il connaissait l’hymne national de notre pays, il entonna solennellement ( mais en chantant horriblement faux) :

– Ô Canada ! Terre de nos aïeux,
Ton front est ceint de fleurons glorieux !
Car ton bras sait porter l’épée,
Il sait porter la croix !
Ton histoire est une épopée
Des plus brillants exploits.
Et ta valeur, de foi trempée,
Protégera nos foyers et nos droits,
Protégera nos foyers et nos droits.

– Bien, lui fis-je. Mais comme tu veux intégrer l’armée, tu dois le savoir dans l’autre langue officielle itou. Qu’en est-il ?

Sans se démonter le moins du monde, le Crapulet re-massacra nos oreilles avec un horrible et caricatural accent anglais :

– Ô Kénéda ! Tewe deu nos aieux,
Ton fwont est ceint de fleuwons glowieux, etc. etc, etc…

Je vous fais la grâce du reste. Ça vous sauvera de la terrible migraine qui m’a terrassée après cet épisode.

Mais si j’adore revenir avec ma tribu sur le lieu de villégiature de mon enfance, il faut bien dire qu’il s’agit de vacances qui se méritent, vu les interminables heures de route. Nous partons en extrême fin de soirée pour éviter une attente trop longue à la frontière et Guinness conduit toute la nuit. D’où ma terreur de le voir s’endormir derrière le volant. de nocturne de conseils on ne peut plus raisonnables (et parfaitement exaspérants), chaque heure :

– On fait encore une pause pour que tu dormes un peu, mon chéri ?

– Mais voyons ! Tu ne veux quand même pas qu’on s’arrête à deux heures du matelas ?

– ??? Quand je te disais que tu étais fatigué…

– J’ai dit « deux heures du mat’, là« . Et tu m’emmerdes.

N.B. : je sais que le titre n’a aucun rapport avec le contenu du billet. Mais je suis tombée amoureuse de cette hilarante (pour moi) expression découverte chez Alphonse Allais, je vous l’impose sans aucun état d’âme. Na.

Comments
No Comments »
Categories
Ma vie - leurs oeuvres
Comments rss Comments rss
Trackback Trackback

Grumpy for ever

Scrogn | 7 juillet 2013

Le Grumpy est une espèce de bipède doté d’un estomac, d’amour propre et d’un Ego surdimensionné. Mais complètement dénué de charité, d’empathie et de tout sens moral. Le Grumpy ne vit que par, pour et grâce à lui. D’ailleurs, il m’a demandé à plusieurs reprises comment notre bonne vielle terre avait eu l’outrecuidance d’exister en son absence.

Le Grumpy.

Celui qui, les cils à peine décollés par la fée du réveil, hurle au voisinage (et à ses parents) qu’il EST. Surtout à six heures du matin. En période de vacances. Les fenêtres ouvertes. Si vous voulez renoncer à toute vie sociale, je peux vous le louer une semaine (nan, parce que plus longtemps, vous risquez d’avoir une brigade anti-terroriste à vos portes).

Le Grumpy.

Celui qui se fait un petit bobo en vélo. Mais qui donne l’impression que je vais soigner sa plaie en la cautérisant au chalumeau. Mais pas au lance-flamme. Cet enfant conserve stoïquement dans la douleur, le sens cultivé de la modération.

Le Grumpy.

Celui qui cherche à vous faire plaisir, seulement si cela lui convient :

– Dis Papa ?

– Oui ?

– Tu veux quoi pour la fête des pères ? Tu sais, quelque chose qui te ferait VRAIMENT plaisir ?

– Honnêtement ? Que tu arrêtes de poser des questions. Je t’en prie. Je t’en supplie. Pitié.

– Pourquoi ? Pourquoi ? Dis-moi pourquoi cette demande ? Mais où vas-tu ? On mange quoi ce soir ? Pourquoi on existe ? Les grands frères servent à quoi ? Pourquoi tu t’enfermes dans ce placard en te bouchant les oreilles ? Et les parents, pourquoi ont-ils le droit de vivre (à part pour répondre à des questions existentielles et me nourrir, me loger, faire le ménage de ma chambre, laver mes vêtements, soigner mes blessures au chalumeau) ? Etc, etc, etc…

– (Son à peine étouffé par la porte du placard) : AAAAAAAAAAAAARRRRRRGGGGGGGGGGHHHHHHHHHH

Le Grumpy.

Celui qui constate que ses aînés ne lui arrivent pas à la cheville (ou toute autre partie du corps). Ainsi devant son frère ne parvenant pas à claquer des doigts :

– Je sais. La vie est très difficile, des fois. Surtout pour toi. Visiblement. Dommage. Tu peux pleurer.

Le Grumpy.

Mon Grumpy.

Comments
No Comments »
Categories
Ma vie - leurs oeuvres
Comments rss Comments rss
Trackback Trackback

Laver son linge sale en famille

Scrogn | 20 mai 2013

Je n’ai pas l’honneur d’avoir de fille. De toute façon, j’ai largement de quoi souffrir m’amuser avec cette meute de mâle.

Mais dans mes rêves les plus fous, j’imagine avoir eu une petite fée délicate, prenant soin de ses affaires avec une minutie exemplaire. Une chambre propre et bien rangée, chaque petit bibelot briqué, tous les vêtements respectant le repassage maternel.

Dans la vraie vie, j’ai hérité d’une bande de barbares. Qui m’ont massacré le sens ménager.

Au début de notre mariage, mon chéri me reprochait de faire des finitions « coton-tige ». J’admets volontiers que je mettais un peu trop en oeuvre la maniaquerie de ma maman. Car dans mon enfance, entre autre, il fallait récurer le sol de la cuisine après chaque repas. Et nous tremblions quand une tache venait souiller le carrelage blanc (évidemment) entre deux repas. Une de mes soeurs a eu la sagesse d’avoir une femme de ménage. Moi, j’ai préféré emmerder ma gang. Jusqu’à ce que la marmaille pousse et me fasse comprendre à l’usure que le ménage, ben, c’est inutile.

Car les affreux (leur père compris) ont quotidiennement des arguments percutants, croyez-moi. À tel point que la salle de bain fraîchement récurée, tient à peine dix minutes… même en leur absence. Une salle de jeu propre ? Oubliez ça. Les jouets épars vous empêcheront de pénétrer dans la pièce de toute façon (mais comment font-ils pour y entrer, eux ?). Vous rêvez d’un salon impeccable. Réveillez-vous. Le cauchemar est bien réel et ces tonnes de bouts de papier vous le rappelleront sans faute. Une salle à manger accueillante ? Ça n’existe pas. La nourriture, pourtant fraîchement tombée par terre, sèche plus vite qu’une feuille de brick. Ne parlons pas de la cuisine, la vision serait trop atroce.

Bref, à la longue, j’ai obtempéré à ce conseil confortable pour sauvegarder le reste de ma santé mentale: ménagez (sans rire) un espace de vie intime à vos enfants sans y mettre vos sales pieds de parents afin que le reste de la maison survive (même si, dans un moment d’égarement, vous payez le loyer en sommes astronomiques pour l’ensemble). Hélas ! J’eus tôt fait de constater avec angoisse que l’espace intime en question représentait la totalité de notre logement. NOTRE logement ? Pardon : LEUR logement.

Vous comprenez ainsi que votre maison ressemble à un gros placard bourré de cochonneries que vous tentez de cacher à la face du monde. Il ne faut surtout pas ouvrir la porte.

Toutefois, dans mon désarroi et malgré mon abdication, je tiens encore le front de la lessive. ‘Fin, bon, on se comprend. C’est bien beau d’avoir à renoncer à tout ce qui ressemble à des soupers entre amis, à des visites des voisins qu’on aime, à trembler quand quelqu’un qui frappe à votre porte, il reste que vos affreux (et vous, avec un peu de chance) auront à se confronter avec les gens de l’extérieur, par nécessité et dans un esprit dingue de survie sociale.

J’ai donc les mains pleines de crevasses à force de pré-laver des vêtements qui ont pour mission de se salir avec des substances inconnues et inquiétantes.

Mais il est un mystère qui demeure, nourri avec un sadisme consommé par des adolescents en feu : pourquoi certains vêtements disparaissent.

Vous savez de quoi je parle, ô parents éplorés. Oui, vous. Vous dotés d’un échalas dont la voix ne semble connaître que les aigus et les graves, dont la vie semble se résumer à des crises d’abattement puis à des périodes d’euphorie aberrantes.

Et comme si votre perplexité ne suffisait pas, il en rajoute, le coquinou.

En effet l’adolescentus vulgaris ne sort de son terrier puant que pour se plaindre de :

– ses parents
– la nourriture ( quelque soit la quantité de légumes ou le temps que vous avez passé pour mitonner le repas)
– la quantité de cette dernière (trop, pas assez, même combat)
– ses parents
– la météo
– les examens
– le prix de la vie (???)
– ses parents
– son vélo
– la pollution
– ses chaussures
– ses frères
– ses jeux vidéo
– ses parents
– les parapluies
– ses cheveux
– la musique que fait jouer ses parents
– les horaires des films
– ses parents
– ses frères
– son acné
– les portes
– les fenêtres
– ses copains de classe
– son réveil-matin
– le parfum (ou l’absence de celui-ci) de son savon
– ses parents
– la vie en général
– les chats
– ses frères
– le chien
– ses parents
– les acariens
– ses parents
– ses enseignants
– ses parents
– l’autorité
– ses parents
– les règles
– ses parents
– ses parents
– ah, et aussi (et surtout parce qu’ils résument tout) ses parents.

Mais il serait faux de croire que l’adolescentus vulgaris ne passe son temps qu’à regimber. Il réclame, exige, somme, ordonne aussi. Surtout le matin. Genre, très tôt. Quand il doit s’habiller et que vous êtes à peine réveillé. Et bien sûr en retard. Ceci donnant cela :

Le Crapulet : Je n’ai pas de culotte !

Scrogn : Regarde dans ta commode.

Le Crapulet : Elle est vide. Il est où, mon pantalon ?

Scrogn : Ouvre ton placard.

Le Crapulet : Y’en a pas, de pantalon. C’est grave si je n’ai pas deux chaussettes identiques ?

Scrogn (pétant joliment les plombs): ÇA SUFFIT !!! Le Crapulet, viens ici. Tussuite, en plus.

Le Crapulet (traînant de la patte): Ouais ? Y’a un problème ?

Scrogn : Je pensais que tu avais mis tout ton linge sale à laver.

Le Crapulet: Ouais. Celui que j’ai trouvé, en tout cas.

Scrogn : Pardon ? Tu m’avais affirmé que tu avais le ménage de ta chambre. Tsé, histoire que je n’y entre pas.

Le Crapulet : Ouais. Pis ?

Scrogn : Ben, nous allons admirer ton oeuvre.

Le Crapulet : Ouais. Pis ?

Bon. Comment vous décrire le bordel la scène ? Certes, je pouvais voir un peu de plancher, le reste, je le devinais. Mais, le pire était tapi sous son lit. Un gros paquet tristement tassé au fond, comme terrorisé par ma venue.

Scrogn : Tu appelles ça une chambre rangée ?

Le Crapulet : Ouais. Pis ?

Scrogn (soulevant les draps d’un lit non fait et découvrant un T-Shirt) : Mais pourquoi tu as laissé traîner ça ?

Le Crapulet : Je ne l’ai pas laissé traîner. Je l’ai déposé là. Ouais. Pis?

C’est l’affreux en question qui a fait une drôle de tête devant son bol de soupe crue (nan, pas un gaspacho), le soir même.
Ouais.
Pis ?

Comments
No Comments »
Categories
Ma vie - leurs oeuvres
Comments rss Comments rss
Trackback Trackback

Le Crapu-bère

Scrogn | 16 avril 2013

Croyez-moi, avoir un adolescent, c’est comme attendre un bébé. Il se métamorphose et il vous transforme, mais ce coup-ci, brusquement et sans les hormones (du moins pour vous). Vous vous retrouvez du jour au lendemain devant un être que vous ne reconnaissez plus. Docteur Frankenstein et sa bête. Ellen Ripley et l’Alien. Docteur Jekyll et de M. Hyde.

Un étranger. Un autre. Mais pas notre fils.

En effet, comment comprendre que l’adorable bambin :
– aux joues roses,
– aux bras potelés,
– à la bouche délicate,
– aux jambes frétillantes,
– à la voix délicieusement flûtée,
– aux élans d’amours si touchants envers ses parents

puisse devenir une créature
– avec de l’acné,
– des membres supérieurs trop longs,
– de la moustache clairsemée,
– une démarche lourde,
– une voix qui mue,
– et surtout, surtout sans coeur.

Vous vous dites que ça va se régler et que l’âge bête va passer. Mais quarante ans, c’est long. Même si vous avez eu la bonne idée de refiler entre temps l’adolescent en question à une bru quelconque.

Mais en attendant, il faut faire avec ça. Oui, « avec ça » ! Un Gollum sans sentiment qui n’a qu’une seule obsession : lui-même.

Et quand vous vous en rendez compte, vous réalisez trop tard que vous avez eu la mauvaise idée de laisser votre âme à nue. Alors il en profite, le bougre. Ainsi :

Le Crapulet (trouvant sa mère en larmes, la morve au nez, triturant un mouchoir, dans le salon) : Ben là, Môman, qu’est-ce qui t’arrive ENCORE ?

Scrogn ( sa mère, donc en larmes, la morve au nez, etc, etc) : Je viens de voir une histoire horrible.

Le Crapulet (froid et détaché) : Ok. Je pense que je vais t’interdire la télévision. En mon absence, du moins.

Scrogn : NOOOON ! Tu ne comprends pas ! Des témoignages pareils, ça me bouleverse.

Le Crapulet (agacé mais s’asseyant néanmoins près de sa génitrice pour lui tapoter distraitement la main ): Un témoignage ? Bon. Raconte-moi.

Scrogn ( en sanglotant): La maman s’est sacrifiée pour sauver la vie de son enfant. Elle est MORTE et son fils se sent horriblement COUPABLE. Ça me parle, ça ! L’amour d’une mère pour son petit ! Je… Je… Je ferais tout pour vous ! Bouhouhouhouhou !

Le Crapulet : Maman ? Tu sais que ce n’est qu’un jeu vidéo ? Rassure-moi ?… Parfait. Au fait, on mange quoi ce soir ?

Un monstre, je vous dis. Une chance que je suis l’adulte.

Comments
No Comments »
Categories
Ma vie - leurs oeuvres
Comments rss Comments rss
Trackback Trackback

« Previous Entries Next Entries »

Derniers billets

  • L’Affeux-Jojo fait son malin
  • C’est fini
  • Soupe à la grimace
  • L’Affreux-Jojo à fleur de pot
  • Les corvées du Grumpy
  • Pauvre Jude
  • La fête des merdes (encore une)
  • J’écris ton nom
  • Le douanier et la renarde
  • Grumpy, artiste incompris
  • Je vous fais un dessin ?
  • Grumpy nous emballe
  • L’affreux petit lexique
  • Bienvenue au club
  • Que pouic

Commentaires

  • Scrogn dans L’Affeux-Jojo fait son malin
  • SekhmetDesign dans L’Affeux-Jojo fait son malin
  • Scrogn dans L’Affeux-Jojo fait son malin
  • Jean-Philippe dans L’Affeux-Jojo fait son malin
  • Scrogn dans C’est fini
  • Zohra dans C’est fini
  • Petitou dans Pauvre Jude
  • Zohra dans J’écris ton nom
  • Scrogn dans Grumpy, artiste incompris
  • Cécile - Une quadra dans Grumpy, artiste incompris
  • Scrogn dans Grumpy nous emballe
  • Zohra dans Grumpy nous emballe
  • Zohra dans Contacts
  • Isabelle dans Contacts
  • Scrogn dans Contacts

Archives

Chums Scrogneugneux

  • Chroniques d'une mère indigne
  • De quoi aimer ses vieux meubles IKÉA
  • Elise Gravel – poil aux aisselles
  • Immigrer.com
  • La Grenouille Givrée
  • Le Blogue de Pluche
  • Mes drôles de zèbres
  • Montréal à moi

D'autres Scrogneugneux intéressants

  • Apinpelusafac
  • Blog Story
  • Carnet de Sophie Imbeault
  • Crocomickey
  • Il chante peut-être mal mais il distribue des notes
  • Le blogue collectif des Écureuils
  • Le Moukmouk (nounours pour les intimes)
  • Mr. X
  • Notre petite vie (presque) bien tranquille
  • On ne s’endort pas sur ses lauriers.
  • Sekhmet Design
  • Trains et pissenlits
  • Ze Canada
rss Comments rss valid xhtml 1.1 design by jide powered by Wordpress get firefox