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Avec amour

Scrogn | 27 mai 2007

Ce samedi fut une journée à marquer d’une pierre blanche… ou plutôt d’un rocher noir.

Don’t panic…

Je m’explique …

(Remarquez la rime particulièrement riche).

Notre Grumpy International a eu un an. Comme tous parents normalement constitués, nous avons voulu célébrer l’évènement (alors que l’intéressé s’en moquait É-PER-DU-MENT). Mais, égoïstes comme nous sommes, nous avons allègrement passés outre ce petit détail (entre nous, parfaitement insignifiant).

Traditionnellement, le Guinnessus Vulgaris se colle à la confection du gâteux… gâteau ( s’cusez). Allez savoir savoir pourquoi ! Il a rempli sa tâche avec amour, comme d’habitude.

Il a acheté une boîte avec un mélange « pas bon-pas bon » et le glaçage du même ton, avec amour.

Il a ouvert la-dite boîte avec amour.

Il a déchiré les sachets avec le super-méga-ultra contenant chimique, avec amour.

Il a pulvérisé trois oeufs avec amour (et a recueilli les bouts de coquille avec empressement, mais trop tard, j’avais vu).

Il a réfléchi à la conversion des tasses, demi-tasse, tiers de tasse, quart de tasse, en vingtième, dixième, cinquième (etc…) de litre, avec amour. Qu’il est bon, dans ce cas d’être ingénieur ! (N.B. : mettre sur la liste d’épicerie : « verre doseur »).

Il s’est penché sur le problème ( a priori insoluble pour un homme) de l’utilisation d’un batteur électrique, avec amour.

Il a aspergé les murs de la cuisine avec l’appareil* (un mot qui n’a rien à faire en cuisine, selon lui, l’ingénieur) constituant le fameux gâteau, avec amour. Bibi aura devant elle des heures de plaisir intense pour décaper tout ça.

Il a versé deux-tiers de l’appareil * (j’insiste) dans un moule, préalablement lavé par mes soins, et un tiers sur le comptoir (pour la beauté du geste) avec amour.

Il s’est brûlé très sérieusement en enfournant son gâteau, avec amour.

Il nous a fait profiter de son vocabulaire fleuri en matière de gros mots frââânçais, avec amour.

Il est resté planté devant le four durant toute la cuisson, les poings sur les hanches, espérant certainement que sa présence conquérante rayonne sur son oeuvre, avec amour. Pour ma part, je me suis attelée aux soins d’urgence du Guinnessou, au lavage et rangement de la cuisine (avec mauvaise humeur).

Il s’est méfié de cet étrange outil de travail qui venait de le marquer au fer rouge, avec amour. Aussi, c’est moi qui ai sorti le gâteau du four.

Il surveilla, les deux mains derrière la tête, le refroidissement de son travail, avec amour. Vu l’air glacial de Guinness, on a du gagner pas mal de temps.

Il est allé se reposer de tout cet effort, avec amour.

Il a consenti seulement à lécher la spatule pleine de glaçage, avec amour.

Puis, une fois que le Grumpy eut fini de bavouiller sur son gâteau en ratant systématiquement la bougie, nous dévorâmes ce foutu gâteau avec humour.

*appareil : en termes culinaires, désigne le mélange de plusieurs produit en vue d’effectuer un plat plus ou moins bouffable, en fonction de la personnalité (et le sexe) de son inventeur.

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Dernière plaidoirie

Scrogn | 18 mai 2007

Juste pour savoir ce que vous en pensez…

DERNIÈRE PLAIDOIRIE

 » Venez-en au fait, Maître Fuerte ! Venez-en enfin au fait ! Si vous pouviez faire un effort ! Je ne vous reconnais pas. »

Ainsi interpellé, l’avocat sentit ses derniers étais psychologiques cédés devant tant d’agressivité. Trop de pression, trop de catastrophes… Tout s’écroulait. Aussi, Maître Fuerte prit sa meilleure décision depuis fort longtemps. Il s’écroula lui-même, en perdant connaissance, au beau milieu du tribunal, sous les yeux de tous.

Il faut dire que sa journée avait été parfaitement catastrophique. Il s’était réveillé frigorifié, avec une sinistre impression que dorénavant, tout irait très mal pour lui, et surtout avec cette douleur lancinante au creux de l’estomac, comme si on l’avait poignardé. Pourtant, il s’était taillé une belle réputation au sein de sa société d’accueil. Lui, le petit mexicain qui, fuyant la misère de son pays, avait obtenu tous ses papiers en règle pour immigrer dans un pays opulent. Il avait abandonné, sans trop de regret, sa famille au pays. De toute manière, celle-ci l’avait laissé grandir avec une certaine désinvolture qui l’avait toujours meurtri. Fuir, ne pas se retourner et advienne que pourra !

Tout ce beau rêve s’était pulvérisé aujourd’hui lorsque le spécialiste lui avait annoncé d’une voix monocorde qu’il était foutu. Et pas qu’un peu…

– Je viens de recevoir vos résultats. Ils sont désastreux. Vous avez un cancer métastasé. C’est sans appel.

« Sans appel »… Pour un avocat, cette expression avait un petit je-ne-sais-quoi de cynique. Tentant s’accrocher à un espoir à peine diaphane, Maître Fuerte gémit :

– Et avec des rayons ? Une opération peut-être ?

Le spécialiste secoua gravement la tête. L’avocat en resta sonné. Mais ce n’était pas tout. Le diagnostic n’avait pas fini de déroulé ses rails abjects.

– De plus, votre taux de cholestérol est épouvantable…

À ce moment précis, l’avocat faillit éclater de rire. Quelle idiotie ! Lui reprocher son gras alors que le crabe lui rongeait les entrailles. Mais le ricanement de Fuerte s’étrangla pour se muer en un pitoyable sanglot.

– Il me reste combien de temps à vivre ?

– Très peu… Maintenant, je dois vous quitter, d’autres patients m’attendent.

L’avocat se retrouva dans son bureau sans savoir où il avait trouvé la force de se mouvoir. Surtout, ne rien laisser transparaître. Son stagiaire, un certain Hass, se montra particulièrement obséquieux.

– Vous paraissez fatigué, Maître. Vous n’êtes plus vous-même.

– Sans blague, songea Fuerte, si tu avais reçu une telle nouvelle, je ne suis pas sûr que tu aurais pavané autant, petit crétin…

Hass poursuivit impitoyablement la conversation.

– Maître Fuerte, je pense que je suis prêt pour devenir un avocat à part entière.

Son supérieur eut un rictus mauvais.

– Vraiment ? Sachez que je reste persuadé, personnellement, que vous n’êtes pas prêt. Vous n’êtes pas assez mûr.

Hass haussa les épaules comme s’il savait que, de toute manière, son but était d’ors et déjà atteint. Comme s’il connaissait la fin prochaine de son vis-à-vis. Fuerte ne tenta même pas de se mentir. Lui mort, ce misérable opportuniste de bas étage prendra sa place. L’avocat n’avait jamais compris comment ce… cette petite chose avait pu attirer les regard. Fuerte avait constaté que la plupart de ses concurrents étaient morts de trac le jour du recrutement. Les autres furent ternes, lui fut brillant de mille feux. Et il se fit remarquer. Il fut choisi sans que les patrons n’eussent à se poser beaucoup de questions. Forcément, Fuerte était le meilleur. Que ce petit avorton de Hass ait pu franchir la grande porte… Ceci était incompréhensible. Mais en ce jour, les sentiments qu’éprouvait l’avocat vis-à-vis de son subalterne glissaient d’un mépris furieux vers une haine glaciale.

Puis il y eut le tribunal… Cette remontrance insidieuse et obstinée du juge… Cette impression épouvantable qu’il étouffait. C’était le cancer, le crabe, le cholestérol, le gras qui l’étranglaient. C’était ce misérable Hass qui l’écrasait sous sa botte carriériste. C’était le prétoire entier qui l’effaçait définitivement du monde des vivants et qui le dévisageait comme s’il avait perdu la tête… Alors Fuerte en eut assez. Ce fut à ce moment qu’il sombra dans l’inconscience.

Lorsqu’il reprit ses esprits, il se crut être encore entre les murs de son lieu de travail. L’ambiance était aussi aseptisée. Trop de blanc, trop froid, trop sombre la plupart du temps. Mais Maître Fuerte se rendit compte qu’il n’était pas seul.

- Où suis-je ? Qui êtes-vous ? Je vous connais ?

Son compagnon sourit avec dédain.

– Vous êtes ici. Vous me connaissez parce ce que je suis… toi.

La familiarité finale aurait fait bondir Fuerte si celui-ci avait été d’attaque. Mais à ce moment précis, il ne pouvait que se laisser emporter par une folie salvatrice.

– Vous êtes moi ? Tant mieux. Je commençais à me sentir un peu seul avec mes problèmes de…

L’autre le coupa ironiquement :

– …avec NOTRE crabe, NOTRE graisse ? T’a-t-il dit que NOTRE taux de sel avait de quoi faire frémir des morues séchées ? Il a oublié cette bonne nouvelle ?

– Pourquoi me dire tout ceci ? Je suis foutu… NOUS sommes finis. Quel est l’intérêt de cet ultime cauchemar ?

– C’était juste pour rire. Adieu, mon frère jumeau, ma moitié…

Engourdi, le célèbre avocat Fuerte s’enfonça résolument dans cet océan d’aberration et oublia tout.

***

 

– Mon amour, c’était délicieux ! Vraiment, tu t’es surpassée, ce soir !

– C’est gentil ! Tu veux l’autre moitié, mon chéri ?

L’homme acquiesça. Et son adorable femme lui servit l’autre moitié de Fuerte, un savoureux avocat au crabe avec de la mayonnaise.

 

Alors ?

 

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La fête des merdes

Scrogn | 14 mai 2007

Non, mais sérieusement…. Sérieusement, entre nous… Sérieusement… Existe-t-il un autre jour dans l’année (exception faite des 364 autres, voire 365 quand on est dans nos bons moments) durant lequel vous vous dites que vous avez presque beaucoup de chance d’avoir des affreux que celui (« le jour », pour ceux qui ont raté le début) de la fête des mères ?

Vous savez ? Ce jour béni entre tous, dignement souligné par la maîtresse d’école de vos enfants, laquelle, pour une raison non encore élucidée décide de se venger sur vous. Personnellement, je pense me souvenir avoir salué avec toute la déférence dont j’étais capable à 7h45 du matin, cette brave représentante de l’enseignement.

Alors, pourquoi tant de haine ? Que cherche-t-elle à prouver ? Que ce n’était rien de les porter à m’en rendre malade tous ces mois, de les avoir pondus en me ridiculisant définitivement les foufounes à l’air (et autres choses inavouables), de m’être levée toutes ces nuits en me cognant contre ces meubles réels et fictifs (ch’uis fortiche tout de même), de m’être faite les ongles – versant nord- avec le contenu de couches cacateuses à souhait ? Je passerai sous silence tout le reste (pour l’instant). L’esprit humain ne supporterait de connaître, en un seul coup, tous ces tombereaux d’horreur.

Ainsi, je me suis levée ce dimanche matin, après quatre heures de doux sommeil  (la scrogneugneuse inc. recevait la veille), me souvenant vaguement de l’emplacement de ma cafetière bénie, tout en ayant résolument enterrée sous des tonnes de lingettes souillées cette date fatidique.

Sans aucune pitié pour leur épave maternelle, les affreux me sont tombés dessus (précisément entre la salle à manger et ma tasse à café) avec, entre leurs mains, ce que je redoutais le plus : leurs cadeaux…

Quand je fais le bilan de ces dernières années, j’ai déjà eu :

– un bouquet pas frais-frais de pissenlits,

– un vide-poche en pâte à sel informe peint en bleu avec des paillettes,

– une vague silhouette dauphin en bois avec des « spots » de paillettes (la fin du stock de la dernière fois) et une pince à linge aimantée collée derrière, histoire d’avoir sous le nez tous les futurs jours de martyr de congé scolaire, sur la porte de notre réfrigérateur,

– une chose innommable, de couleur indéterminable, indescriptible dans son ensemble, et dont je cherche encore la sombre utilité (les maîtresses d’école sont assez vicieuses en ce domaine).

Cette année, je n’ai pas eu à me plaindre du Crapulet. Les dégâts se sont gentiment résumés à un dessin d’un fleur… qui semblait souffrir à mort d’être sur le papier.

Youpi.

Mais, lors de ces moments cruciaux, comment honorer son contrat d’éducatrice tout en laissant libre cours à mon amour primaire de môman ?

Rassurez-vous, depuis le temps j’ai un discours parfaitement rôdé.

– Oh ! Mon chéri ! C’est génial ! (évitez les compliments hypocrites du style « c’est beau », vous risquez d’éradiquer à tout jamais le moindre soupçon de bon goût chez vos mouflets).

– Oh ! Mon amour ! C’est adorable d’avoir pensé à la fête des mères ! (soulignez bien la date particulière… Sinon, vous aurez à subir ce type d’assaut quotidiennement).

-Oh ! Mon ange ! Quelle surprise ! (même si ça fait deux semaines qu’il vous décrit, par le menu, la nature de son foutu magnifique cadeau avec force de clins d’oeil et des « chut ! C’est un secret ! « ).

Pour conclure ma diatribe, je vous lance un appel vibrant, vous, mères de la terre (faut commencer petit…). Unissons-nous et créons… une maudite fête des maîtresses. Histoire qu’on rigole un peu…

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Coeur de pierre

Scrogn | 8 mai 2007

Une autre douce soirée, à se réchauffer la couenne au coin de nos ordinateurs portables respectifs et à placoter au sujet d’un « mautadit de cadeau » qu’a fait le Crapulet à son père bien-aimé. Décidément, MSN est vital pour tous les parents qui ne se respectent pas…

Guinness dit : Chérie, le Crapulet me l’a donné pour que je l’emporte au boulot…

Scrogn dit : QUOI ???

Guinness dit : T’es sourde ?

Scrogn dit : Vu notre moyen de communication, je dirais que je suis aveugle, plutôt… Mais ne chipotons pas, ne chipotons pas… Ben dis donc, tu en as de la chance !

Guinness dit : QUOI ???

Scrogn dit : Ton écran s’est éteint ?

Guinness dit : Hélas non. Que veux-tu que je fasse de son « cadeau empoisonné » ?

Scrogn dit : La même chose que la copine de ton fils aîné : tu refiles ça à quelqu’un d’autre (si possible à son insu, dans sa poche de manteau ou son sac). Tsé, le principe de la « patate chaude » ?

Guinness dit : Non… Mes collègues ne m’ont rien fait… Et ça serait lâche…

Scrogn dit : Que penses-tu de relâcher le cadeau du Crapulet dans son habitat naturel ?

Guinness dit : Tu crois qu’il pourra survivre ? Après tout, nous ne savons pas depuis combien de temps, il est en captivité .

Scrogn dit : You’ve got a point. Le proposer à l’adoption ?

Guinness dit : Non, impossible…

Scrogn dit : Mouais, tu as raison… Je ne suis même pô capable de te dire sa (ses ?) race(s) d’origine… Aussi mélangé que lui, c’est ne devrait pas être permis.

Guinness dit : Au fait, à ton avis, c’est un mâle ou une femelle ?

Scrogn dit : Aucune idée. Je ne voudrais pas m’y attacher, tu comprends ? Pour te dire, je ne l’ai même pas nourri. De toute manière, je ne pense pas avoir ce qu’il faut pour lui, à la maison… En plus, je ne sais du tout quel âge il peut avoir !

Guinness dit : …

Scrogn dit : « … » toi-même !

Guinness dit : Je pense que le Crapulet a gagné.

Scrogn dit : C’est ce que je me disais itou…

Aussi, Guinness est parti au travail avec « LUI ». Et maintenant, il doit trôner fièrement sur son bureau. « LUI »…. Ce maudit caillou que le Crapulet a offert à son Pôpa…

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Des élections présidentielles françaises au Québec : la finale

Scrogn | 5 mai 2007

La plupart de mes lecteurs fidèles sait que notre tribu, composée de cinq individus, compte cinq français et quatre canadiens.

 » Gné ? « , vous dites-vous, à juste raison,  » L’aurait-elle perdue (la raison, justement) ? »

L’explication est navrante de simplicité… Mais vous l’avez certainement trouvée, tout seuls, comme des grands (alors que moi, je patauge encore dans la choucroute). Notre toit abrite quatre personnes avec une double nationalité alors que mon Guinness adoré n’en possède qu’une (la française – pouf pouf).

Aussi, histoire de coller avec l’actualité et d’organiser des activités familiales (pour faire rigoler les affreux), nous nous sommes essayés à ce doux exercice qu’est la prédiction de l’issu de ce vote crucial, plagiant lamentablement la Grenouille Givrée et Tof.

Je pense que le résultat pour demain dimanche se passe de commentaire…

Le taux de participation est délirant (100%)…

Je n’avais jamais encore vu ça…

L’émoi me gagne au moment de vous faire partager l’inimaginable…

….

….

….

Allons-y ! :

Nous nous empiffrerons donc de lasagne, demain… 

Les puristes (et ceux qui savent compter) ont remarqué que le compte n’était pas rond. C’est que Grumpy mange mou (trois dents et demi, voire un tiers, oblige). Fait que… C’est la part de vote blanc, dirons-nous.

Pour ceux qui se demandent comment nous arrivons à avoir des décimales avec seulement cinq votants, je vous répondrai que :

  1. Ça fait plus joli.
  2. Parce que, na !
  3. Et puis zut…

La prochaine fois, nous nous attaquons résolument aux prédictions concernant les vins  qui vont bien avec (le nombre de votants risque d`être revu à la baisse).

Sur ce, bon appétit, bon vote et bons rêves…

  

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