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9 raisons de répondre au Collectif des Écureuils

Scrogn | 5 octobre 2009

S’il existe de mammifères qui me font rire icitte, ce sont bien mes écureuils préférés. Mais faut pas trop leurs dire par exemple. Ils risquent que trouver ben l’fun d’écrire des affaires pleines de menteries au sujet de nous autres, les filles. Comme leur dernier billet. Aussi, ces chevaliers des hauteurs qui enfouissent présentement des provisions qu’ils ne retrouveront pas de toute manière, m’ont donné la permission de leur répondre. Vous trouverez ci-dessous leurs propos tout’ drette (et entre guillemets) pis ma réponse, toute croche.

« On parle pas mal des gars célibataires ces temps-citte mais faudrait pas oublier ceux qui sontpognées en couple (volontairement ou non) pis c’est pourquoi   faire qu’aujourd’hui on vous donne un p’tit coup d’main avec un p’tit lexique. C’pas compliqué, c’est les 9 mots utilisés par les filles durant une “discussion” pis c’que ces mots-là veulent dire. Imprimez-le, ça pourrait vous sauver la vie! Faque.

1. Correct : Ça c’est l’mot qu’une fille utilise pour mettre le point final à une “discussion”. Faque les gars, c’est votre “cue” pour vous fermer la trappe. »

1. Correct : Ça c’est l’mot qu’un gars utilise pour faire accroire qu’il a écouté sa blonde. Faque les filles, c’est votre « cue » pour répéter la même chose pour la centième fois.

« 2. Cinq minutes : Si elle est en train de s’habiller/maquiller/coiffer c’est l’équivalent de quelque chose entre 30 pis 60 minutes. Le même 5 minutes est l’équivalent de 5 minutes si la fille vient de dire de regarder la game un autre 5  minutes avant de venir l’aider à faire le ménage dans maison. »

2. Cinq minutes : S’il est à la toilette avec un magazine d’auto/informatique/playboy, c’est l’équivalent de quelque chose entre 3 et 6 heures. Autant aller chez la voisine pour s’habiller/maquiller/coiffer. Pis on pourra toujours espérer que la bol sera pas le prochain lieu du naufrage de nos fesses, en pleine nuit. D’autant, qu’un gars, ça s’assit pour pisser, surtout quand il est pas mal fatigué. Autant dire, pas mal souvent, genre.

« 3. Rien : Ça c’est l’calme avant la tempête. Ca veut dire de quoi pis vous devriez marcher les fesses ben serrées. Les “discussions” qui commençent avec “rien” finissent avec “correct” (voir #1) »

3. Rien : Là, les boys sont sincères. Quand ils nous font cette réponse après notre question « à quoi tu penses ? », c’est juste vrai. Leurs réflexions commencent par « correct » pis finissent par « rien« . Yes, they can.

« 4. Vas-y! : Wo! Ça c’est pas une permission c’t’un défi, faque faites câlissement rien! »

4. Vas-y ! : Wo ! ça ‘est plutôt un ordre, genre « va faire la bouffe », « Sors donc la balayeuse » ou « sacre ton camp ». Faque faites rien pantoute !

« 5. *Gros soupir* : C’est pas vraiment un mot mais une forme de language non-verbal (tsé) qui est souvent mal interprèté par les gars. Un gros soupir veut tout simplement dire qu’a pense que vous êtes un osti de moron calfeutré pis qu’elle est en train de se demander pourquoi c’est faire qu’a perd son temps à s’obstiner avec vous autres à propos de rien. (Voir le #3 pour la définition de “rien“) »

5. *Gros soupir* : C’est un gros langage de gars. Soit il est repu, vu le gros paquet de croustilles qu’il vient de s’envoyer, soit il a arrêté de roter après sa caisse de Labatt, soit le Canadien a gagné. Voire tout ça en même temps.

« 6. C’est correct : Ça c’est probablement une des expressions les plus dangereuses qu’une fille peut utiliser avec vous autres. Généralement ça veut dire qu’elle est en train de penser ben fort à comment c’que vous allez payer (pis combien) pour l’ostie de niaiserie que vous venez de faire (whatever that is!). »

6. C’est correct : Ça c’est probablement une des expressions les plus utilisées chez nos hommes. Ça va du char qu’était ben correc’ pis qui agonise sur le bord d’une route, au retour d’une soirée entre chums pas arrosée pantoute.

« 7. Merci : Une fille vous dit “merci”. Tombez pas sans connaissance, posez pas de questions. Faites juste dire “de rien” pis THAT’S IT! A moins qu’a dit “merci beaucoup” qui, dans c’te cas-là est pas mal rempli de sarcasme pis elle est pas en train de vous remercier pan-tou-te! JAMAIS répondre à un “merci beaucoup” avec “de rien”  parce que ça va vous ramasser un “whatever” assez vite merci! »

7. Merci : Un gars vous dit « merci ». AYOYE. Vous venez de lui pardonner une affaire qu’il va se dépêcher de refaire. Pis drette là, à part de ça. Un conseil : oubliez tout simplement ce terme. C’est juste pour les hommes.

« 8. Whatever : Une façon comme une autre pour la fille de dire “mange d’la marde”! «

8. Whatever : Pour éviter la discussion, il louche de façon dangereuse vers la porte de sortie. Rendez-lui service : ouvrez-la lui.

« 9. Laisse faire j’vas m’arranger avec : Une autre expression dangereuse, qui survient assez souvent après que la fille vous ait répétée une bonne dizaine de fois de faire de quoi mais que là elle est déjà en train de l’faire. Assez surprenant (ou pas) ça amène le gars à dire “qu’est-ce qu’y a?”. Pour la réponse d’la fille, vous référer au #3. »

9. Laisse faire, j’vas m’arranger avec : Pas de touble, il va demander à sa mère/soeur/cousine/amie/ex qui, si elle a déjà rencontrer ce genre de comportement, l’enverra autant chier que vous.

Mais après 12 ans de mariage avec mon Guinness, je peux vous jurer que c’est beau, l’amour !

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Ducon

Scrogn | 3 août 2009

Nous avons un petit voisin dont toute personne saine d’esprit et heureuse détentrice d’un jardin se doit de détester.

Et parce que je suis charitable jusqu’au bout des ongles (de pieds fraîchement coupés) ,  je vais respecter son anonymat et lui octroyer un zoli pseudo qui lui ira comme un gant.  Appelons-le « Ducon ».

Oh, je vois tout plein de sourcils se lever, des pas-épilés, des rachitiques, des touffus, des poivre et sel, des bien-dessinés. Pourquoi tant de haine, me demandez-vous (non, parce que si vous ne me le demandez pas, je suis un peu embêtée, là.) ? Je vous répondrai que cette méchanceté toute nouvelle chez moi (qu’est-ce qu’on rigole) vient en fait d’une frustration indigérable. Voyez-vous, j’ai l’habitude inavouable (quoi que) de baptiser mes héros de jeux vidéo type RPG avec ce doux nom. D’abord, c’est passe-partout, ça me fait rigoler et surtout je peux ainsi écrire des gros mots à défaut de pouvoir les prononcer. Mais, là, « horror y damnaciones », mon jeu actuel a tout bêtement refusé de l’enregistrer. Z’avez bien lu : IL-A-REFUSÉ. Un jeu vidéo.

Donc, je me venge sur le petit voisin.

En toute amitié.

Ducon a le don de susciter chez moi un sentiment ambigu. Il m’agace mais en même temps il m’effraie. C’est qu’il passe la majeure partie de son temps à nous regarder par-dessus la clôture. Je devrais dire « nous fixer ». Avec ses yeux vides. Bbbbrrr… Imaginez : vous êtes confortablement installé dans une vieille chaise de jardin toute pourrie, les jambonneaux à l’air, un délicieux livre à déguster lorsque, levant machinalement le nez, vous le voyez. Immobile. Attentif. Dérangeant. Et vous aurez beau lui tourner le dos, vous sentirez toujours son regard de chouette comateuse sur votre nuque.

Mais ce n’est pas tout. Pour une raison inexplicable, il apparaît brusquement dans votre jardin. Vous avez pourtant bien fermé votre portail pour avoir la paix, mais ce petit Houdini des villes se rit de votre intimité. Il en profite pour faire des trous dans votre pelouse, déterrer vos plants de légumes fraîchement mis en potager, arracher tout sauf des mauvaises herbes. Si possible, vous surprenez l’énergumène en faisant la vaisselle, activité hautement recommandée pour tout dépressif qui se respecte. Vous lâchez votre activité ménagère avec, faute de remord, au moins la volonté de sauver ce qui est vert et que vous voulez voir pousser. S’en suit un pseudo dialogue des plus mornes :

Scrogn : Mais pourquoi tu fais ça ?

Ducon : …

Scrogn : Tu es entré par où ?

Ducon : …

Scrogn : Bon, tu veux que j’en parle à tes parents ?

Ducon : …

Scrogn : Tu ne veux pas me causer ?

Ducon : ….

Scrogn : Tu ne veux pas que je t’aide ?

Ducon : …

Scrogn : Tu sais parler, mon chou ?

Ducon : Oui. Pis va chier. T’es grosse.

Scrogn : Okkkkkkkkk.

Mais c’était l’année dernière. En prévision des aventures de Ducon dans notre jardin, nous avions :

–  Collé des cadenas sur notre porte de jardin. Oui, DES cadenas. Manquerait plus qu’on tombe sur un génie des combinaisons ou de crochetage de serrure.

– Abandonné l’idée de mettre en place un potager. De toute manière, vu la météo pisseuse jusqu’ici, et à moins de me transformer en maître nageur-secouriste, légumes et autres en devenir seraient morts noyés.

– Laissé la pelouse faire ce qu’elle veut. À savoir n’importe quoi. Nous aurons les regrets en moins.

Seulement, jusqu’ici, Ducon ne s’est pas manifesté.

Arghhh…

Il est atroce d’attendre pour rien une catastrophe. De se faire des cheveux inutilement.

Frisant l’angoisse, j’ai demandé aux affreux d’enquêter. Lesquels ont rempli leur mission avec un professionnalisme tout « scrogneugneu-esque ».

Le Crapulet : C’est bon ! On sait pourquoi on ne voit plus Ducon !

Scrogn : Génial ! Alors pourquoi ?

Le Crapulet : Hey, on va être d’accord  pour deux crèmes glacées ?

Scrogn : Diantre, les tarifs ont augmenté… OK, ça marche. File-moi les infos.

Le Crapulet : Ses parents se sont séparés. Ducon est parti vivre avec sa mère. Loin.

Scrogn (en extase) : Aaaaaaaaaahhhhhh !!!

Le Crapulet : Il ne reviendra que rarement, vu que son père a un chalet.

Bon… Je m’en suis voulue… J’ai pensé que le malheur des uns faisait le bonheur des autres. Suis-je irrécupérable ?

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Grumpy et la censure

Scrogn | 21 juillet 2009

Il faut savoir que le Grumpy est très pudique, puritain sur les bords, limite méga-prude. À tel point, qu’il enlève lui-même sa couche pour être plus à l’aise, surtout devant un public non-averti. Qu’il raffole espionner ses grands frères quand ils utilisent des toilettes. Qu’il aime hurler » Pipi ! Caca ! » lorsque quelqu’un (inconnu compris) a tendance à se rapprocher d’un lieu aisance.  Voire tout ça en même temps. Mon Grumpy est un scatologique pratiquant.

Sa pauvre mère, suffisamment rouge de honte pour deux, lui a expliqué maintes et maintes fois que ces choses-là mériteraient d’être parées d’un peu plus de discrétion. Manque de bol. Le Grumpy s’en moque. La plomberie interne, il connaît et compte le faire savoir, goutte que goutte.

D’où la stratégie d’évitement parentale. Bien qu’assez épuisante pour les géniteurs puisqu’elle nécessite une vigilance constante et une capacité d’anticipation pointue, elle nous a sauvés les fesses la face plus d’une fois.

Tout d’abord, il faut analyser la situation autour du Grumpy, histoire de s’assurer que tous les ingrédients sont réunis. Pour prendre un exemple concret, je parlerai de ce qui c’est passé vendredi dernier. En route pour la check-list :

  • Un lieu public (en l’occurrence, la bibliothèque municipale) : OK
  • Des toilettes accessibles sur le-dit lieu public : OK
  • Du monde non-initié aux pratiques du Grumpy : OK
  • Des grands frères qui n’ont pas pris leurs précautions avant de partir de la maison : OK
  • Un Grumpy qui commence à se tortiller pour atteindre les attaches de sa couches : OK

Nous avons là un magnifique cas d’alerte maximale. La solution est alors de détourner l’attention et les intentions du petit bonhomme grâce à un artefact à portée de la main. Dans une bibliothèque, n’importe quel livre pour enfant fait l’affaire.

Ouf.

De retour à la maison, les parents d’un Grumpy songent à écrire une lettre éperdue de remerciement à l’auteur du livre qui les a tirés d’un si mauvais pas. D’ailleurs l’Affreux, encore tout charmé de son bouquin, réclame une autre lecture du chef-d’oeuvre. Qu’à cela ne tienne. L’euphorie est encore palpable.

Le Grumpy est confortablement installé, les doigts déjà inondés de bave prêts à être dégainés sur les images les plus intéressantes.

Première page :

petit ours

Oui.

Vous ne rêvez pas.

La bibliothèque municipale a censuré le dessin.

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Semaine de relâche scolaire : Guide de survie (I)

Scrogn | 28 février 2009

Dans son plus récent billet, notre déesse toute indigne a lancé un appel vibrant à la solidarité parentale et nous priait instamment de lui faire parvenir nos petits trucs pour passer le cap des foutus congés. Ça tombait bien,  j’avais justement concocté une bavouillette sur le sujet.

Ainsi donc, comment survivre à une semaine de vacances scolaires ?

La question mérite réflexion et une absence totale d’instinct maternel. Le but étant d’occuper nos affreux IN-TE-LLI-GE-MENT et surtout très, très, très longtemps pour ne pas les avoir dans les papattes, je propose une activité dégoulinante de pédagogie pour reprendre le flambeau de l’école, cette ignoble lâcheuse de parents sans-coeur (Le « sans-coeur » pouvant s’appliquer à tous les protagonistes sus-cités).

Aussi, rien de tel que d’imposer le rangement scientifique des LEGO (ennemis personnels de mes petons nus et grands pourvoyeurs de victimes colorées pour Monsieur l’Aspirateur). Allez,  je vous refile la recette ( je suis trop bonne) :

Rangement scientifique des Lego

Pour 2 parents éplorés

Ingrédients :
– 3 affreux à point (nommés)
– 1 tonne de lego en vrac (compter 4 tonnes pour que le plaisir dure plus longtemps)
– plein de boîtes, seau, pots (bref des trucs suffisament vides pour être remplis)
– 1 salle de jeu
– 1 chambre insonorisée et munie d’une serrure inviolable

 

Marche à suivre :

Mélangez les ingrédients humides (affreux en larmes) et sec (récipients et Lego) dans la salle de jeu.
Sans laisser décanter, ordonnez aux ingrédients humides de trier les Lego jaunes dotés d’une seule pustule avec les Lego jaunes dotés d’une seule pustule, les Lego blancs en long pourvus de  quatre boutons avec les Lego blancs en long pourvus de  quatre boutons,  les Lego rouges munis de six excroissances sur deux rangées avec les Lego rouges munis six excroissances sur deux rangées, etc…., chaque catégorie dans un récipient plus ou moins adapté.

Touiller le fer dans la plaie en clamant haut et fort que vous viendrez contrôler le tout après quelques heures de macération.

Incorporez sans pitié des menaces de représailles piquantes si le plan de travail n’est pas nickel à votre retour.

Tamisez la lumière pour plus de sadisme.

Enfournez-vous douillettement dans votre chambre avec un bon gros bouquin (si possible traitant des serial killers).

Savourez aussitôt.

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Fidèle gastro

Scrogn | 24 février 2008

Z’avez de la chance, j’ai renoncé à mettre une photo (décidément, ma censure mon Guinness n’est point joueur). 

Le Crapulet est revenu de l’école avec une copine que je hais et que je ne connais que trop bien : la gastro-entérite. Le genre de maladie qui brise, chez les parents, le coeur en plus de le mettre au bord des lèvres (je persiste, fidèles lecteurs !).

Et en tant que géniteurs franchement en dessous de tout, nous avons, Guinness et moi, parié sur les futures victimes de notre tribu. Mon homme penchait pour moi, tandis que je donnais ma voix pour le Grumpy. Mais nous n’avions jamais envisagé la candidature de « l’Estomaqueur » (à plus d’un titre), la « Terreur des Frigos », le « Pulvérisateur des denrées alimentaires », connu aussi sous le nom de « Affreux Jojo ». Ce petit bonhomme a hérité, certes de mon mauvais caractère, mais aussi (et surtout ?), de l’estomac en béton armé de son Pôpa. Avec l’Affreux Jojo, l’expression « un estomac sur pattes » prend tout son sens.

Seulement, vers les deux heures du matin, je me suis retrouvée à lessiver en grand la salle de bain des enfants. L’Affreux Jojo (l’auteur du désastre, bien malgré lui) me regardait faire.

– J’ai eu mal au ventre. J’ai vomi et j’ai fait caca mais en pipi… Tout ça en même temps…

– Ce n’est pas grave, mon amour. Ce n’est pas de ta faute. Tu es malade, c’est tout ! Tu ne veux pas aller te recoucher ? Maintenant que tu es propre…

– Non… J’ai envie de… De… De..

– De ? Qu’est-ce qui te ferait plaisir, mon ange adoré ?

– Ben… Euh… Une tarte aux fraises avec plein de crème dessus. Pis en dessous, aussi !

Fidèle à lui-même…

Visiblement…

Beurk pis blurps…

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