C’est fini
Scrogn | 27 juin 2015Donc l’orage me gronde,
Autour de moi, s’écroule mon monde.
Le soleil qui en connait un rayon
Me laisse en haillons.
Les bourrasques en ayant eu vent
Ont balayé ma vie d’avant.
C’est fini.
C’est fini.
Et l’amour de ma vie
Fait les cents pas sur le parvis
De mon cœur. Piétinant ses promesses,
Allègrement, encore et encore.
Elle est dite, la messe.
C’est mort, c’est mort.
Donc l’orage me gronde,
Autour de moi, s’écroule mon monde.
Le soleil qui en connait un rayon
Me laisse en haillons.
Les bourrasques en ayant eu vent
Ont balayé ma vie d’avant.
C’est fini.
C’est fini.
Le grand patron m’appelle,
Un instant, ma carrière se fêle
Puis longtemps, bien trop longtemps, explose
En mille fragments incolores.
Et mon CV m’expose.
C’est mort, c’est mort.
Donc l’orage me gronde,
Autour de moi, s’écroule mon monde.
Le soleil qui en connait un rayon
Me laisse en haillons.
Les bourrasques en ayant eu vent
Ont balayé ma vie d’avant.
C’est fini.
C’est fini.
Cette amitié si chère
M’a pulvérisée dans l’air
Avec ses lèvres ourlées de mensonges
M’attribuant tous les torts.
Ces vers maudits me rongent.
C’est mort, c’est mort.
Donc l’orage me gronde,
Autour de moi, s’écroule mon monde.
Le soleil qui en connait un rayon
Me laisse en haillons.
Les bourrasques en ayant eu vent
Ont balayé ma vie d’avant.
C’est fini.
C’est fini.
Pas un seul instant
Je n’ai pensé que c’était de ma faute.
Pas un seul instant.
Mais les résultats sont là.
C’est forcément quelqu’un d’autre
Qui a commis tout ça.
C’est fini.
C’est fini.
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